mardi 23 juillet 2013

1ère pression à froid

L'idée et l'envie d'écrire les articles qui seront publiés ici me sont venues à l'occasion de la relecture des Lettres Luthériennes, compilation de textes que Pier Paolo Pasolini écrivit au cours de l’année 1975 pour le quotidien italien Il Corriere della Sera. L’exercice de l’écriture quotidienne de textes brefs qui, sous prétexte de faire l’éducation d’un jeune napolitain, présentent des considérations contemporaines me fait penser à ce que l’on peut trouver sur un blog. 


J’arrêterai là la comparaison avec le génie bolonais puisque si j’ai bien l’intention de dispenser ici quelques réflexions sur le monde qui m'entoure, je prévois plus largement d’écrire sur tous les sujets qui m’intéressent et principalement, sur moi. De plus, je n’ai aucunement l’intention de me faire l’esclave du temps et m’absoudrai donc de quelconque régularité.

Ne te trompe pas, lecteur ! Si ces quelques lignes t’ont paru quelque peu lourdes, snobs, voire prétentieuses, dans les articles que tu pourras lire ici, il y aura de la SUEUR, du SEXE, du SANG ! Mais surtout, c’est que tu n’es pas encore prêt à me suivre (j’espère ainsi disperser toute ambiguité).

Enfin cher lecteur, pour piller une dernière fois Pasolini, je commencerai, tel qu’il l’a fait dans ces fameuses Lettres Luthériennes, par me présenter tel que tu dois m'imaginer puis dresserai un portrait de toi tel que je t’envisage.

Attention, il y aura peu de concessions dans les lignes qui suivront.

To be continued...



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